La vie se déroule paisiblement dans la petite ville québécoise de Mandeville, peut-être un peu trop au goût des quelques commerçants qui tirent la langue devant le manque de clients. Invectivé sur ce point lors d'un conseil municipal, le conseiller Chevalet trouve une solution au problème en tuant accidentellement un voleur de cannabis qui croise sa route. La découverte du corps place Mandeville dans le radar des policiers et des journalistes et les touristes répondent enfin présent, mais le soufflé retombe bien vite. Notre bienfaiteur décide alors de prendre les choses en main : à défaut d'attirer les randonneurs, Mandeville pourrait devenir un lieu de pèlerinage pour les badauds en manque de frissons. Tout ce qu'il faut, c'est que les meurtres continuent...
Né en France, André Marois habite à Montréal depuis 1992. Après une longue carrière comme concepteur-rédacteur publicitaire, il se consacre aujourd'hui entièrement à l'écriture. Il est l'auteur de plus de trente polars pour jeunes et adultes. En 2015, il a remporté le prix du Gouverneur général pour le roman graphique Le voleur de sandwichs.
Depuis des jours, à la même heure, au même endroit, le sergent-détective Mazenc trouve une canette de boisson énergisante sur son terrain, un désagrément mineur qui s'avère de plus en plus irritant, surtout à l'aube d'une semaine de vacances bien méritée. En bon défenseur de la bucolique région mandevilloise, il se met en tête de pincer le pollueur. Mais la forêt abrite des criminels bien plus dangereux, à croire que tous les cinglés de la province en ont fait leur repaire. En menant sa petite enquête, Mazenc va relancer une vieille affaire de meurtres et faire basculer la légèreté de son quotidien dans le drame le plus noir. Dans ce truculent polar où les coups pleuvent de partout, le lecteur est maintenu en haleine jusqu'au bouquet final que ne renierait pas un certain Quentin Tarantino.
Né en France, André Marois habite à Montréal depuis 1992. Il est l'auteur de plus de trente polars pour jeunes et adultes. En 2015, il a remporté le prix du Gouverneur général pour le roman graphique Le Voleur de sandwichs. Bienvenue à Meurtreville, son premier polar a avoir été publié en France, est paru aux éditions Le mot et le reste en 2021.
André est rapide comme l'éclair !
Mais... où va-t-il donc ?
Sous la douche ou dans la voiture, André chante tout le temps. Enfin... presque tout le temps !
« Chaque soir, c'est pareil : maman prépare une tarte aux pommes et l'enfourne. Papa et moi regardons les nouvelles à la télé. Après l'émission, un cri retentit toujours de la cuisine, puis le bruit d'une chute. Mon père et moi nous précipitons. La tarte est renversée sur le sol ; maman explique qu'elle l'a fait tomber à cause du moule qui était brûlant. Papa s'allume une cigarette sans rien dire et part à la recherche de son cendrier. Chaque soir c'est pareil, et mes parents font comme si de rien n'était. Je crois qu'ils veulent me rendre fou. »
Dans ce roman glaçant, un jeune garçon voit sa maison devenir le théâtre d'une lutte pour sa survie et doit parer les coups diaboliques de ceux dont il attend pourtant le réconfort.
André est attiré par le mystère... Il s'invente toujours toutes sortes d'histoires !
André parle français, tout comme toi ! À quelques exceptions près...
Il fait chaud. Vraiment trop chaud ! Et la piscine est fermée à cause de l'orage. Étienne doit établir rapidement un plan anti-canicule pour éviter que ses amis et lui ne fondent sur l'asphalte...
Heureusement, il ne manque pas d'idées farfelues pour garder tout le monde au frais.
Une histoire rafraîchissante et amusante à lire en toute saison !
«Devant la piscine, il n'y avait plus que nous. Les nuages s'éloignaient, le soleil a recommencé à nous chauffer, mais je savais que la piscine resterait fermée « par sécurité »
- On fait quoi maintenant pour ne plus transpirer? a demandé Rafael en essuyant ses lunettes.
- On pourrait aller dans une pharmacie, a suggéré Alexander. Il y a l'air conditionné.
- C'est plate, regarder les boîtes de médicaments. Je propose plutôt de manger une crème glacée au Patio, a répondu Zakaria le gourmand.»
J'ai armé, j'ai tiré, j'ai troué. Deux fois de suite, pas une de plus. La journée n'étant pas finie, je devais économiser mes cartouches. J'ai hurlé mon «À MORT LE LAID» et je les ai laissés s'éteindre dans une mare d'hémoglobine somme toute assez réussie au niveau de la composition. On rencontre parfois la joliesse à des places insoupçonnées.
Du cyan plein les mains
Nouvelles noires
Dix-huit nouvelles noires et décoiffantes, qui ont fait les délices de milliers de lecteurs sur le site Internet d'André Marois, dans des revues et des magazines, sont enfin réunies dans ce recueil. Des nouvelles à glacer le sang!
«Ces dix-huit nouvelles ont en commun un héros plutôt masculin, solitaire et urbain, révolté ou désabusé, tendre ou violent. Il n'est jamais le même, mais tous se ressemblent. Les actions sont contemporaines (la nostalgie n'est pas mon fort). L'humain est souvent faible et pris au dépourvu face à l'inattendu. La mort rôde deux fois plutôt qu'une. L'humour se faufile tant bien que mal entre le sordide ou l'ennui.» A. Marois
On dit d'André Marois qu'il est l'un des rares maîtres du genre noir au Québec. En tout cas, il affirme que sa couleur préférée est le noir, comme dans les romans, les tenues de deuil et les yeux meurtriers. Noir aussi comme les histoires de crime.
André Marois est l'auteur de plusieurs nouvelles et romans, dont Accidents de parcours et Les effets sont secondaires, publiés à la courte échelle. Il a remporté différents prix littéraires au Québec et en Europe, dont celui du concours de nouvelles policières de l'hebdomadaire Voir.
«Ceux et celles qui suivent cette chronique savent déjà tout le bien que je pense de cet écrivain à l'imaginaire délicieusement tordu [...] Vraiment Marois est un type à surveiller, ainsi que disent les forces de l'ordre des mécréants les plus dangereux.» Stanley Péan, La Presse
Québec, 2048. Tous les soirs, des milliards de moustiques assoiffés de sang envahissent le ciel, tuant les habitants qui s'aventurent à l'extérieur. À cette menace s'ajoute celle d'un gouvernement qui veut contrôler la population. Des drones armés survole le territoire pendant le jour et un ordinateur surpuissant analyse en permanence tout sur tous. Pourtant, lorsqu'un meurtre survient, la police est incapable de démasquer le coupable. Hugo et Lolla décident alors de mener leur enquête. Aidés d'Arto, quatorze ans, ils traquent l'assassin, jusqu'à ne plus savoir qui est le chasseur et qui est le gibier...
Nouvelle aussi noire que captivante, empreinte de l'humour grinçant qui caractérise la plume d'André Marois.
Jay est engagé pour l'été comme promeneur de chiens. En allant chez sa cliente Lynou pour chercher Zéro, son labrador, un homme attend devant la porte. Quelques jours plus tard, Jay découvre que l'appartement de sa cliente a été cambriolé. Son premier réflexe est d'appeler la police, mais compte tenu qu'il travaille au noir, il décide de partir lui-même à sa recherche, sans se douter qu'il met sa vie en danger.
Olivier doit fuir pour oublier tout ce qu'il a vu et surtout entendu. Mais avec son hypermnésie auditive, c'est impossible. Le moindre son se grave instantanément dans sa mémoire. William est aussi en cavale. Traqué comme un gibier. Il veut tenter sa chance ailleurs pour changer de vie et oublier son passé. Trois options s'offrent à eux : se noyer dans la masse, acheter un aller simple pour une destination inconnue ou se réfugier dans un coin isolé. Leur rencontre en propose une autre : échanger leur planque pour brouiller les pistes de ceux qui les poursuivent.
Nouvelle aussi noire que captivante, empreinte de l''humour grinçant qui caractérise la plume d''André Marois.
Aucun geste n'est anodin et chaque acte porte à conséquence. Tapi au fond de notre mémoire, le besoin de vengeance n'attend qu'un signe pour se manifester. Il ne s'agit pas d'une simple question d'honneur. C'est un cycle infernal de violence que l'homme cherche à enrayer depuis la nuit des temps. Il y parvient souvent, mais il ne peut pas toujours arrêter le massacre. Cette histoire en est la preuve.
Nouvelle extraite du recueil Du cyan plein les mains.
Dans une société moins différente de la nôtre qu'on aimerait le croire, le sentiment amoureux est une maladie mentale grave que l'on soigne par un traitement radical, voire mortel.
Nouvelle aussi noire que captivante, empreinte de l'humour grinçant qui caractérise la plume d'André Marois.
Nouvelle aussi noire que captivante, empreinte de l'humour grinçant qui caractérise la plume d'André Marois.
Nouvelle extraite du recueil Du cyan plein les mains.
Nouvelle extraite du recueil Du cyan plein les mains.
Nouvelle extraite du recueil Du cyan plein les mains
Nouvelle extraite du recueil Du cyan plein les mains
Nouvelle extraite du recueil Du cyan plein les mains.