Pour ses soixante ans, Iznogoud ne souhaite qu'un seul cadeau : devenir calife à la place du calife !
Pour atteindre ce but, l'ignoble vizir redouble d'imagination pour piéger le calife Haroun El-Poussah, usant de mille objets incroyables : une lampe magique gêpêhess, un trône piégé, des sphères enchantées...
Pour l'anniversaire du calife, Iznogoud fait réaliser toute une série de "mille et une feuilles" par Spritz von Kouglopf, le célèbre chef pâtissier du palais. Il a trouvé un nouveau stratagème : la magicienne Honorée, comtesse de Chantilly lui fournit des bougies magiques. Celui qui les souffle reprend la forme qu'il avait le jour de sa naissance... Le bon calife échappe au piège tandis qu'un feu d'artifice inattendu clôture les célébrations : là encore, Iznogoud est sûrement de mèche.
Iznogoud sait également s'entourer de personnages plus loufoques les uns que les autres : le cupide banquier Aboul el Ben & Fils, le chambellan Mehdi Terranêoziledorensoleillez, le barbier Moussah Razhêê ou encore le marin au long cours Mahârius.
Dans ces cinq actes hilarants signés Olivier Andrieu et Elric, multipliant clins d'oeils et calembours, Iznogoud, lui, enchaîne aventures... et mésaventures. Après 60 ans de manigances, l'ignoble vizir parviendra-t-il à prendre la place du calife ?
Fidèle à sa réputation, Iznogoud cultive sa méchanceté légendaire : les chômeurs pointent à Pal-emploi tandis que le Paye-pal menace les commerçants trop gourmands. Cela n'empêche pas la malchance de lui coller au turban, et les prédictions du deezeur de bonne aventure n'y changeront rien : en cinq actes hilarants signés Jul, Laurent Vassilian et Olivier Andrieu, Iznogoud ne desespère pas de devenir calife à place du calife.
5 HISTOIRES DE 8 PLANCHES
On retrouve dans cet album le format d'origine des aventures d'Iznogoud telles que les avaient conçues René Goscinny privilégiant des gags efficaces et percutants.
TROIS SCÉNARISTES MACHIAVÉLIQUEMENT DRÔLES ONT RELEVÉ LE DÉFI
Jul, l'auteur à succès de « Silex and the city » et de « Lucky Luke ».
Laurent Vassilian est la plume de Nicolas Canteloup. Il a déjà réalisé deux albums d'Iznogoud : De père en fils et Iznogoud Président.
Olivier Andrieu, jeune scénariste au talent prometteur qui signe ici sa première participation à un album de bande dessinée.
DEUX DESSINATEURS ONT RÉALISÉ CET ALBUM
Après avoir succédé à son père, Jean Tabary cocréateur du personnage, Nicolas Tabary dessine ici ses dernières planches d'Iznogoud, pour se consacrer désormais à ses propres créations. Il passe le relais au dessinateur Elric qui prend la relève avec maestria.
Enfin en intégrales, les albums d'Iznogoud de Dargaud, scénarisés par René Goscinny et dessinés par Jean Tabary. Ce premier tome réunira les albums "Le Grand Vizir Iznogoud", "Les Complots du Grand Vizir Iznogoud", "Les Vacances du Calife" et "Iznogoud l'infâme" ! S'y trouveront également les « Retours d'Iznogoud » correspondants aux histoires publiées, ainsi qu'un cahier supplémentaire de vingt pages.
La légende raconte qu'à Bagdad la magnifique, un grand vizir répondant au nom d'Iznogoud, particulièrement mal intentionné, cultive l'ambition de ravir le trône du calife Haroun El Poussah. D'où son expression favorite qui revient sans cesse : je veux être calife à la place du calife !. Secondé par Dilat Laraht, Iznogoud multiplie les tentatives les plus diverses et surtout les plus folles pour arriver à ses fins. En vain, bien sûr ! Fidèle à l'esprit des Milles et une Nuits version loufoque, les auteurs ont inventé cette série en 1962 pour RECORD. Mais c'est dans les pages de PILOTE (1968) qu'Iznogoud trouvera un réel succès.
Ça grenouille dans le Califat Dilat trouve une grenouille qui est en fait un Prince victime d'un mauvais sort. Pour le délivrer, il faut lui donner un baiser, et celui qui l'a fait, redevient en son tours une grenouille.
La légende raconte qu'à Bagdad la magnifique, un grand vizir répondant au nom d'Iznogoud, particulièrement mal intentionné, cultive l'ambition de ravir le trône du calife Haroun El Poussah. D'où son expression favorite qui revient sans cesse : je veux être calife à la place du calife !. Secondé par Dilat Laraht, Iznogoud multiplie les tentatives les plus diverses et surtout les plus folles pour arriver à ses fins. En vain, bien sûr ! Fidèle à l'esprit des Milles et une Nuits version loufoque, les auteurs ont inventé cette série en 1962 pour RECORD. Mais c'est dans les pages de PILOTE (1968) qu'Iznogoud trouvera un réel succès.
« Je veux être calife à la place du calife », répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
« Je veux être calife à la place du calife » , répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
La légende raconte qu'à Bagdad la magnifique, un grand vizir répondant au nom d'Iznogoud, particulièrement mal intentionné, cultive l'ambition de ravir le trône du calife Haroun El Poussah. D'où son expression favorite qui revient sans cesse : je veux être calife à la place du calife !. Secondé par Dilat Laraht, Iznogoud multiplie les tentatives les plus diverses et surtout les plus folles pour arriver à ses fins. En vain, bien sûr ! Fidèle à l'esprit des Milles et une Nuits version loufoque, les auteurs ont inventé cette série en 1962 pour RECORD. Mais c'est dans les pages de PILOTE (1968) qu'Iznogoud trouvera un réel succès.
« Je veux être calife à la place du calife » , répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
« Je veux être calife à la place du calife », répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
« Je veux être calife à la place du calife », répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
La légende raconte qu'à Bagdad la magnifique, un grand vizir répondant au nom d'Iznogoud, particulièrement mal intentionné, cultive l'ambition de ravir le trône du calife Haroun El Poussah. D'où son expression favorite qui revient sans cesse : je veux être calife à la place du calife !. Secondé par Dilat Laraht, Iznogoud multiplie les tentatives les plus diverses et surtout les plus folles pour arriver à ses fins. En vain, bien sûr ! Fidèle à l'esprit des Milles et une Nuits version loufoque, les auteurs ont inventé cette série en 1962 pour RECORD. Mais c'est dans les pages de PILOTE (1968) qu'Iznogoud trouvera un réel succès.
Le bon et gros calife Haroun el Poussah est victime de « delirium très mince » et refuse de se nourrir. Il est déclaré inapte à gouverner par le Conseil des vieux sages. Le premier qui prouve un vague lien de parenté lui succédera. Iznogoud est sur les rangs... il part à la recherche de ses aïeux à commencer par son père qu'il a à peine connu. En même temps, il élimine méthodiquement tous les éventuels prétendants utilisant les stratagèmes les plus ignobles et les plus atroces.
Fidèle à l'esprit de Goscinny et Tabary, les créateurs d'Iznogoud, les deux auteurs de ce nouvel album Laurent Vassilian et Nicolas Tabary (le fils) campent un ignoble vizir d'une rare cruauté. Pour le plus grand plaisir sadique de ses lecteurs, Iznogoud revient avec de nouveaux stratagèmes... Vil, bas, mesquin, méchant, bête et brutal, l'ignoble vizir ne renonce jamais : il veut « être calife à la place du calife ».
De père en fils, Iznogoud ne renonce jamais ! Nicolas Tabary est le fils de Jean Tabary, le co-créateur de l'ignoble vizir. Il dessine depuis l'âge de 16 ans et c'est tout naturellement qu'il succède à son père. « Iznogoud de père en fils » est son troisième album.
Laurent Vassilian récidive. Après le succès d'« Iznogoud Président » sorti en 2012, il signe le scénario de ce nouvel album. Vassilian est un stakhanoviste de l'écriture. Il est coauteur des sketchs de Nicolas Canteloup. Tous les matins sur Europe 1 et tous les soirs sur TF1 la joyeuse équipe fait rire des millions de Français.
La légende raconte qu'à Bagdad la magnifique, un grand vizir répondant au nom d'Iznogoud, particulièrement mal intentionné, cultive l'ambition de ravir le trône du calife Haroun El Poussah. D'où son expression favorite qui revient sans cesse : je veux être calife à la place du calife !. Secondé par Dilat Laraht, Iznogoud multiplie les tentatives les plus diverses et surtout les plus folles pour arriver à ses fins. En vain, bien sûr ! Fidèle à l'esprit des Milles et une Nuits version loufoque, les auteurs ont inventé cette série en 1962 pour RECORD. Mais c'est dans les pages de PILOTE (1968) qu'Iznogoud trouvera un réel succès.
La légende raconte qu'à Bagdad la magnifique, un grand vizir répondant au nom d'Iznogoud, particulièrement mal intentionné, cultive l'ambition de ravir le trône du calife Haroun El Poussah. D'où son expression favorite qui revient sans cesse : je veux être calife à la place du calife !. Secondé par Dilat Laraht, Iznogoud multiplie les tentatives les plus diverses et surtout les plus folles pour arriver à ses fins. En vain, bien sûr ! Fidèle à l'esprit des Milles et une Nuits version loufoque, les auteurs ont inventé cette série en 1962 pour RECORD. Mais c'est dans les pages de PILOTE (1968) qu'Iznogoud trouvera un réel succès.
La légende raconte qu'à Bagdad la magnifique, un grand vizir répondant au nom d'Iznogoud, particulièrement mal intentionné, cultive l'ambition de ravir le trône du calife Haroun El Poussah. D'où son expression favorite qui revient sans cesse : je veux être calife à la place du calife !. Secondé par Dilat Laraht, Iznogoud multiplie les tentatives les plus diverses et surtout les plus folles pour arriver à ses fins. En vain, bien sûr ! Fidèle à l'esprit des Milles et une Nuits version loufoque, les auteurs ont inventé cette série en 1962 pour RECORD. Mais c'est dans les pages de PILOTE (1968) qu'Iznogoud trouvera un réel succès.
« Je veux être calife à la place du calife » , répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
« Je veux être calife à la place du calife », répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
« Je veux être calife à la place du calife » , répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
« Je veux être calife à la place du calife » , répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
« Je veux être calife à la place du calife » , répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
« Je veux être calife à la place du calife » , répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
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Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.
« Je veux être calife à la place du calife » , répète inlassablement Iznogoud.
Cette formule est l'une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny.
L'expression est d'ailleurs aujourd'hui passée dans le langage courant.
Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l'histoire d'un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife !
René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d'Iznogoud. Initialement, la série s'intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l'ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre.
Le duo signera dix-sept albums.
En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny.
Puis, à partir d'octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l'actualité dans le Journal du Dimanche.
Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d'Iznogoud.
En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes.
Mais le personnage d'Iznogoud a acquis une notoriété telle qu'il survit à ses créateurs et vivra, animé par d'autres, de nouvelles aventures.