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Jourdan
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Elles étaient espionnes, porteuses de nouvelles importantes, logeuses de combattants de la Résistance ou de soldats
réfugiés alliés... Sans l'aide de ces femmes, durant la Seconde Guerre mondiale, de nombreuses vies auraient été perdues.
Elles étaient françaises, belges, grecques, norvégiennes, anglaises ou même allemandes. Dans leurs « premières vies », elles étaient institutrices, maîtresses de maison ou étudiantes.
Elles s'appelaient Marguerite Bervoets, Andrée de Jongh, Denise Bloch ou Nancy Wake. Elles ont en commun d'avoir combattu, à leur manière, l'oppression nazie, parfois au péril de leur vie.
Un ouvrage qui rend non seulement hommage aux grandes femmes de la Résistance, mais qui met aussi en lumière des destins méconnus. -
L'attitude de Staline a toujours été plus obscure et secrète que celle de Hitler, de Churchill ou encore de Roosevelt.
En s'appuyant sur des documents devenus accessibles depuis l'ouverture des frontières de l'Est, ce livre met en lumière la politique secrète, cruelle et retorse que pratiqua le dictateur communiste. Staline arriva à tirer profit des désaccords entre les puissances européennes et les laissa s'engager dans la guerre tout en restant à l'écart du conflit, son objectif étant d'arriver à dominer l'Europe.
Malheureusement pour lui, Staline n'avait pas pris toute la mesure de Hitler et de la puissance de son armée.
Dès les débuts de l'attaque contre l'Union soviétique, alors que les Allemands s'enfonçaient dans le pays avec une rapidité jamais égalée, il apparut à beaucoup, en Russie, que la poursuite de la guerre n'avait déjà plus de sens et qu'il fallait chercher une solution autre que celle des armes.
Ces nouveaux documents nous mettent sur la piste d'un complot fomenté au Kremlin visant à écarter Staline du pouvoir pour entreprendre des négociations secrètes avec Hitler.
Comment Staline se sortit-il de ce mauvais pas ? C'est ce que révèle cet ouvrage audacieux et troublant.
La Guerre secrète de Staline dresse enfin un tableau exact de l'activité et des intrigues des hommes politiques, des espions et des soldats, lorsque l'Europe, par la faute de deux dictateurs, se plongea dans la guerre la plus destructrice du XXe siècle. -
Adieu Kobé : un Français à travers le Japon en guerre
Antoine Bruneau
- Jourdan
- 17 Décembre 2018
- 9782390093237
En pleine guerre, un franco-anglais quitte le Japon pour rentrer en Grande-Bretagne.
Juillet 1941, alors que les combats font rage en Europe, des bruits de bottes résonnent dans le reste du monde. En Asie, les Occidentaux expatriés commencent à craindre l'avenir. Ils voient les juifs tenter de fuir les persécutions nazies et le Japon impérial se préparer à entrer en guerre.
Après quarante ans passés au pays du Soleil Levant, l'auteur de ce journal, franco-anglais, se prépare à tout quitter pour retourner en Grande-Bretagne. Chaque jour dans son carnet de bord, il retrace son voyage, du départ de Kobé, le 20 août 1941, à l'arrivée à Greenock, le 16 janvier 1942, en passant par Shanghai, Batavia, Hong Kong et Singapour.
Les nouvelles de la guerre, les espoirs et pronostics des membres de l'équipage, l'indignation de l'auteur face à l'attitude du régime de Vichy et sa joie de voir les troupes alliées remporter des batailles, l'attaque de Pearl Harbor et l'entrée en guerre des États-Unis, l'engagement des hommes dans les forces de la France libre... Cet ouvrage nous offre un regard nouveau sur le conflit, celui d'un habitant du Japon qui tente de garder contact avec l'Europe dont il est originaire. Il met également en lumière un fait méconnu : les nombreux déplacements de populations civiles asiatiques.
Découvrez le récit d'un exilé, entre l'Asie et le monde occidental, en plein coeur du plus grand conflit mondial. Un carnet de bord qui nous offre un nouveau regard sur la guerre et le quotiden des gens à cette époque.
EXTRAIT
Déjà, depuis des mois, pour ainsi dire depuis 1940, l'atmosphère au Japon était chargée d'électricité. La clique militaire, prenant de plus en plus d'emprise sur le gouvernement et aussi sur la population, préparait dans l'ombre ses plans d'agression, tout d'abord sur la France prostrée, puis sur l'Angleterre, tâchant, malgré tout, de garder les bonnes grâces des États-Unis, dont elle avait tant besoin et peur. Il serait oiseux de reprendre les tractations infructueuses pour le Japon, entre ce dernier pays et les Indes néerlandaises4, colonies en position similaire d'avec la France métropolitaine et l'Indochine, puisque comme pour cette dernière, la mère patrie avait été conquise. Si l'on compare toutefois la dignité des Hollandais avec le défaitisme des gouvernants français métropolitains ou coloniaux, on est écoeuré, surtout lorsque, comme cela est le cas avec moi, on aime la France avec ferveur.
Bref, passons. Le ciel se chargeait de nuages et par ordre de l'ambassadeur d'Angleterre, les consuls avaient vivement conseillé à leurs ressortissants de quitter le Japon, sinon les hommes, retenus par leurs occupations, du moins les femmes et les enfants. La mégalomanie nippone devint de plus en plus manifeste, le tempo s'accentuant avec la quantité d'Allemands venus en délégation soit commerciale ou industrielle ou bien culturelle (Hitlerjugend, etc.).
A PROPOS DE L'AUTEUR
Antoine Bruneau est historien. Ancien conservateur du Musée de Loigny-la-Bataille (région Centre-Val-de-Loire), il s'est spécialisé dans l'étude des témoignages historiques.
Après le Journal d'un collabo ordinaire (Éditions Jourdan, 2018), il poursuit ses recherches sur les participants anonymes du second conflit mondial. -
Portraits de djihadistes du XXIe siècle
Mohamed Merah à Toulouse, Jérémie Louis Sidney à Strasbourg, Hakim Benladghem à Bruxelles, Muriel Delgauque qui se fait exploser en Irak, Colleen LaRose (dite « Jihad Jane ») interpellée avant des attentats sanglants en Europe et bien d'autres encore : les « néo-djihadistes » sont parmi nous. Délinquants, convertis, solitaires ou marginaux, hommes ou femmes : ils remplacent les premiers combattants d'al-Qaïda. Tous tentent de se purifier par la guerre sainte ou de donner un sens à leur vie. Si le risque des grands attentats, comme ceux du 11 septembre 2001, reste réel, l'époque est aussi aux actions posées par des solitaires ou des « micros cellules » extrêmement difficiles à pénétrer. Ceux que les Anglo-Saxons appellent les « homegrown terrorists », c'est-à-dire « les terroristes de l'intérieur », nés et élevés en Europe ou aux États-Unis, vivent au coeur même des pays qu'ils vont cibler par leurs attentats. Ce ne sont pas des « idéologistes », mais des révoltés mus par la haine.... Pour la première fois, un livre raconte qui ils sont, dévoile leur recrutement, leur formation et explique comment ils ont été endoctrinés. De plus, se basant sur l'étude de plusieurs centaines de cas, l'auteur dégage des « profils types » de ce nouvel « ennemi intérieur » qui menace notre société. Enfin, en conclusion, l'auteur propose des mesures simples et efficaces pour faire face à cette nouvelle menace.
Comment devient-on dhijadiste ? Comment vaincre cette menace ? Cet ouvrage propose de répondre à ces interrogations.
EXTRAIT :
En mars 2012, la France découvrait le visage de Mohamed Merah et, surtout, les ravages que pouvait faire un jeune extré¬miste, fasciné par le djihad, mais né et éduqué dans l'hexagone.
En 2013, la même France apprenait à connaître le sergent Ni¬cholas Brody, ancien prisonnier d'al-Qaïda en Irak, converti et radicalisé par ses geôliers qui souhaitaient en faire une arme mortelle contre les Etats-Unis.
Le premier est malheureusement bien réel, tandis que le se¬cond n'est qu'un personnage de fiction. Mais tous deux corres¬pondent à un même « profil ». Celui de ceux que j'appelle les « néo-djihadistes » (par opposition aux premières générations de djihadistes, venus du Moyen-Orient ou d'Afrique du Nord) : d'anciens délinquants, des convertis, des solitaires ou même des femmes, tous élevés (ou ayant vécu la plus grande partie de leur vie) en Occident. Tous baignés dès leur plus jeune âge dans la culture, les valeurs et le mode de vie qui sont les nôtres. Des individus, pourtant, pétris de haine, déséquilibrés ou révoltés, aigris par leurs échecs ou leur marginalisation dont, pourtant, ils sont souvent les premiers (sinon les seuls) responsables. Des individus qui ont pour point commun d'avoir été « pris en main » et radicalisés par de pseudo imams, des prêcheurs auto¬proclamés ou des organisations terroristes.
Un nouvel ennemi. Un ennemi intérieur.
A titre professionnel, j'observe l'islamisme radical et sa version violente, le djihad, depuis trente-deux ans. -
Les origines d'un homme né d'une union interdite à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Je suis né le 30 avril 1945 à Berlin, le jour où Hitler s'est suicidé et où les troupes soviétiques ont investi la capitale du IIIe Reich. Mon père, né en France en 1922, avait été envoyé en Allemagne pour le STO. C'est là qu'il a rencontré une jeune étudiante allemande, ma mère. Je suis né de cette relation sinon interdite, tout du moins attentivement surveillée par les nazis. Soixante-dix ans plus tard, c'est au nom de tous les « Enfants de la guerre » que je retrace le parcours de mes parents, leur rencontre, leur relation, leur amour, leur existence sous les bombes dans Berlin encerclée par les troupes soviétiques, la reconstruction de l'Allemagne et les difficultés pour rentrer en France. Comment peut-on se construire, clivé entre deux cultures, deux idéologies, deux langues, alors que le sentiment antiallemand est à son paroxysme et que tout oppose ses parents ?
Découvrez sans plus attendre le récit captivant d'une rencontre dans une époque troublée et suivez pas à pas la reconstruction des origines de l'auteur, né d'un père Français et d'une mère Allemande.
EXTRAIT
Novembre 1942. Robert a 20 ans. Il vit à Lyon avec ses parents et son jeune frère. La famille vit confortablement de la bonneterie que tient le père, et ce, malgré les difficultés de tous ordres que connaissent beaucoup de Français depuis la défaite humiliante de juin 1940. Dans la famille, on considère, comme la grande majorité des Français, que Pétain a sauvé la France pour la deuxième fois. En outre, l'abolition de la République, l'octroi des pleins pouvoirs au vieux Maréchal, les perspectives de la « Révolution nationale » satisfont pleinement nombre de catholiques français qui craignent avant tout une possible révolution bolchévique susceptible de faire suite à la débâcle. Ces gens-là ont assez souffert d'avoir dû subir le Front populaire. Ils sont convaincus qu'un complot judéo-maçonnique a porté « le Juif Blum » au pouvoir et que les malheurs actuels de la France lui sont imputables.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Berlin 1945 - Je suis né dans les ruines du Reich est un ouvrage qui ravira les passionnés de cette période et les lecteurs qui aiment découvrir des récits de vie peu communs. - Loïc Smars - Le suricate
A PROPOS DE L'AUTEUR
Retraité de l'Éducation nationale, Yves Guyet a enseigné l'allemand en lycée à Lyon, Tournus et Chalon-sur-Saône. Il vit aujourd'hui en Bourgogne, tout près de Cormatin, d'où son père est parti pour Berlin en 1943... -
Découvrez le jeu secrètement mené par Churchill pour lutter contre le nazisme, présent également dans son entourage.
Pendant des décennies, les portes des coffres-forts des archives nationales ou privées sont restées closes sur les plus grands secrets du XXe siècle.
C'est seulement maintenant, plus d'un demi-siècle après les événements dramatiques qui ont changé le monde, que nous pouvons entreprendre la tâche fascinante de tenter de reconstituer la vérité.
Winston Churchill, joueur chevronné, homme politique expérimenté, se trouvait, en prenant les fonctions de Premier ministre du Gouvernement britannique, face au puissant ennemi qu'était Adolf Hitler qui remportait des victoires sur tous les fronts.
Mais Churchill devait aussi affronter d'autres adversaires. En effet, le Premier ministre avait en face de lui, des gens de son entourage le plus proche qui pensaient que la guerre conduirait leur patrie à la catastrophe.
Ces gens-là voulaient le renverser. Il leur lança un défi, et c'est lui qui gagna.
Les secrets de guerre de Churchill présente les mécanismes du pouvoir dans lesquels la provocation, le chantage, l'exploitation des faiblesses humaines et, par-dessus tout, la foi dans la justesse de la mission, mènent à la victoire.
EXTRAIT
Or les machines Enigma utilisées dans la marine de guerre allemande étaient différentes de celles de l'armée de terre et des forces aériennes : elles avaient plus de tambours, ce qui rendait pratiquement impossible aux cryptologues britanniques la pénétration de leurs chiffrogrammes. En raison du secret qui entourait l'activité de Bletchley Park, rares étaient les membres du gouvernement britannique au courant de cette situation.
Pour comble de malheur, l'action des navires britanniques qui avaient commencé à poser des barrages de mines à l'entrée du port de Narvik attira l'attention du gouvernement norvégien et des autorités militaires. Oslo envoya les plus vives protestations à Londres et toutes les tentatives pour expliquer qu'il s'agissait de défendre la neutralité de la Norvège menacée par l'Allemagne furent considérées comme un artifice.
Dans cette vague de nervosité et d'indignation suscitée par le viol du droit international par la Royal Navy, une information d'une importance exceptionnelle échappa aux Norvégiens. Dans des conditions normales, elle aurait dû mettre sur pied toute leur défense et alerter les Britanniques.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Boguslaw Wolozanshi se consacre à l'écriture et à la réalisation d'émissions de télévision très populaires comme L'encyclopédie de La Seconde Guerre mondiale qui fut proclamée "meilleur programme de tous les temps de l'histoire de la télévision polonaise". Il a été décoré de la Croix de Chevalier de l'Ordre de "Polonia Restitua" la plus haute distinction académique polonaise. Il a également reçu le prix de journalisme "Boleslaw Prus".
Ses ouvrages et ses reconstitutions nous livrent le résultat de 15 années de recherches et d'investigations. Ses livres sont des best-sellers dans de nombreux pays. Ils paraissent pour la première fois en français.
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Adolf Hitler avait-il une vie sexuelle??
Combien d'hommes et de femmes a-t-il fréquentés??
Pourquoi un tel mystère s'est-il créé autour du Führer??
Était-il hétérosexuel ou homosexuel??
Avait-il des choses à cacher, susceptibles de heurter la bonne morale ou de nuire à son image publique??
Était-il impuissant, pervers polymorphe ou pédophile??
Amoureux des femmes, amateur d'hommes à travers l'Homme supérieur que devait être le SS, qu'était vraiment la vie sexuelle d'Adolf Hitler??
Le livre qui fait le point. -
L'un des principaux acteurs du régime d'occupation allemand en Belgique, le général Alexander von Falkenhausen, commandant militaire, nous livre des Mémoires à plus d'un titre explosifs.
Il s'en dégage le portrait d'un héritier de la vieille tradition prussienne, d'un homme de caste profondément hostile au national-socialisme, et dont l'action de «?vice-roi?» s'exerça, sur le plan belge, de manière modérée.
Fait étonnant, pendant quatre ans - il ne fut rappelé à Berlin qu'en 1944?-, von Falkenhausen réussit à maintenir un fragile équilibre politique et administratif, qui épargna à la Belgique les régimes résolument colonisateurs des Gauleiters.
S'exprimant avec un évident souci d'auto-justification, von Falkenhausen distribue volontiers coups d'épingle et, à l'occasion, coups de trique. Les généraux allemands sont les seuls à trouver grâce à ses yeux. Il ne leur reconnaît, en fait, qu'un seul adversaire, mais de taille?: Adolf Hitler, le stratège mal inspiré. -
Sous terre pour survivre ; parcours d'une enfant juive
Gisele Flasch
- Jourdan
- 27 Juillet 2020
- 9782390093688
Gisèle a 4 ans lorsque commence la Seconde Guerre mondiale. Polonaise, née dans une famille juive, elle échappe de justesse à la rafle de sa famille ; son grand-père et sa mère sont déportés au camp d'extermination de Belzec, dont ils ne reviendront jamais.
Désormais orpheline, elle ne survit que cachée chez des membres et amis de sa famille, jusqu'au moment où elle est dénoncée à la Gestapo par une de ses « protectrices ».
Alors qu'elle se réfugie dans les bois, elle est retrouvée et emmenée dans le camp de travail de Koszary-Boryslav où elle sera cachée à plusieurs reprises, échappant à la mort des dizaines de fois.
Dans la furie nazie, un enfant n'avait presqu'aucune chance de survie ; considérés comme des bouches inutiles à nourrir, incapables de travailler, ils étaient impitoyablement tués.
Parvenant à fuir le camp, elle rejoint une forêt où, avec d'autres juifs, elle se cache dans des souterrains où se forme, dans des conditions terribles, une communauté de survivants.
Cet épisode de la Seconde Guerre mondiale qui illustre dramatiquement l'extermination des juifs d'Europe de l'Est était connu jusqu'à présent uniquement des historiens, il trouve ici une de ses rares témoins et protagonistes.
Tout au long de son périlleux itinéraire de survie, Gisèle n'aura qu'une idée en tête : retrouver son père qu'elle sait à Paris.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Née en Pologne, dans une famille juive, Gisèle Genia Flachs est formée en gemmologie. Elle a été bijoutière durant de nombreuses années avant de prendre sa retraite. Elle témoigne aujourd'hui dans les écoles, en France et en Belgique, luttant inlassablement contre l'antisémitisme et le racisme. -
Que s'est-il vraiment passé sur le front de l'Est au cours de l'affrontement entre Hitler et Staline ? Certaines zones d'ombre liées à ce théâtre d'opérations perdurent depuis des années.
En ordonnant à la Wehrmacht d'attaquer, Hitler aurait-il devancé Staline de quelques semaines ou de quelques mois seulement ?
Staline, en apprenant l'agression allemande, se serait-il effondré et n'aurait-il vu alors comme solution que la fuite vers sa datcha des environs de Moscou ?
Les membres du Bureau politique se seraient-ils rendus sur les lieux pour l'arrêter ?
Jusqu'où sont allées les négociations soviéto-allemandes concernant l'arrêt des hostilités ?
Pourquoi le président Roosevelt et le premier ministre Churchill ont-ils décidé d'aider Staline, conscients pourtant que cette démarche risquait de se retourner contre leur pays ?
Voici quelques-unes des questions auxquelles Boguslaw Woloszanski apporte enfin des réponses.
Cet ouvrage, dont l'élément central est souvent la parole même des principaux témoins, fait, clairement et sans esprit partisan, le point sur ces découvertes.
En se basant sur de nombreux documents accessibles depuis la chute du communisme, l'auteur nous propose une version de la Seconde Guerre mondiale plus conforme à la réalité. Il nous permet d'assister, comme si nous en étions les témoins directs, aux événements qui ont eu lieu à l'Est de l'Europe, au cours de ce « choc des tyrans ». -
Adoptez un nouveau regard sur la Seconde Guerre Mondiale, une guerre encore pleine d'intrigues totalement inconnues.
Décembre 1941, la Wehrmacht est arrêtée devant Moscou. Son élan est définitivement brisé.
L'Allemagne reste une puissance économique et militaire, mais Hitler sait que la défaite de son pays n'est plus qu'une question de temps.
Rapidement, il comprend la nécessité de mettre fin aux hostilités et de traiter avec ses ennemis, mais, mis à part quelques-uns de ses plus proches collaborateurs, personne ne doit savoir que le Führer, lui-même, a perdu la foi en la victoire.
Ainsi commence un des épisodes les plus secrets de la Seconde Guerre?: les tractations entre les belligérants pour arriver à un compromis.
Pour la première fois, le lecteur découvrira cette immense machination planétaire qui étendait ses ramifications de Berlin, à Washington en passant par Londres et Moscou.
Vous revivrez une guerre pleine d'intrigues et - jusqu'à ce jour - totalement inconnue qui s'est déroulée pendant plus de trois ans dans les cabinets des hommes d'État, dans les salles de torture, dans les états-majors, dans les prisons et au sein des services d'espionnage.
Voici enfin présenté un des épisodes les plus incroyables de la Seconde Guerre mondiale - épisode qu'aujourd'hui encore les grandes puissances gardent secret.
L'auteur dans un style alerte nous fait revivre, comme si nous y étions, cette incroyable histoire.
La Seconde Guerre Mondiale regorge de zones sombres et d'interrogations. Boguslaw Wolozanshi déterre de nouveaux secrets et les expose dans cet incroyable livre.
EXTRAIT
L'image d'un Hitler fou a été créée par la propagande stalinienne pour gonfler les mérites de l'Armée rouge et en faire l'instrument qui aurait libéré l'Europe et l'Allemagne d'un dément condamnant à l'anéantissement non seulement des millions de Juifs et la population des pays vaincus, mais aussi son propre peuple. Peut-être en 1945, dans les dernières semaines, quand le Troisième Reich se transformait en ruines, le Führer a-t-il perdu le sens de la réalité. Transposer sur toute la période où il a été au pouvoir l'image d'un Hitler brisé, enfermé dans son bunker, se déplaçant avec difficulté entre les chaises posées toutes les deux ou trois pas dans les corridors, attendant l'intervention de la providence fut donc une opération de propagande aisée. Il n'était plus alors qu'un débris humain, mais il n'était pas aliéné. Il ne perdait pas la raison. Même dans les derniers jours de Berlin, nous ne trouvons rien dans son comportement qui indiquerait des troubles mentaux, la folie. Peut-être était-il rongé par la maladie de Parkinson, les relations de témoins rapportant son comportement permettent de le supposer, mais nous n'en avons aucune preuve.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Boguslaw Wolozanshi se consacre à l'écriture et à la réalisation d'émissions de télévision très populaires comme L'encyclopédie de La Seconde Guerre mondiale qui fut proclamée "meilleur programme de tous les temps de l'histoire de la télévision polonaise". Il a été décoré de la Croix de Chevalier de l'Ordre de "Polonia Restitua" la plus haute distinction académique polonaise. Il a également reçu le prix de journalisme "Boleslaw Prus".
Ses ouvrages et ses reconstitutions nous livrent le résultat de 15 années de recherches et d'investigations. Ses livres sont des best-sellers dans de nombreux pays. Ils paraissent pour la première fois en français. -
Vendredi 11 mars 1938.
Hitler est au pouvoir en Allemagne et des bruits de bottes résonnent dans l'Europe entière. Ce même jour, le chancelier autrichien démissionne et, durant la nuit, l'Allemagne envahit l'Autriche. Au cours du mois suivant, les nazis organisent un plébiscite, demandant au peuple de ratifier le rattachement de l'Autriche au Reich, qui, de facto, a déjà eu lieu : 99 % des votes ont été favorables à l'annexion.
Ce sont ces évènements, et tous ceux qui vont suivre: invasion de la Pologne, coalition entre états, discussions entre généraux, Premiers ministres et présidents, qui mèneront le monde à la Seconde Guerre mondiale, un des conflits les plus meurtriers du XXe siècle.
Cet ouvrage relate jour après jour ce qu'il s'est passé entre ce 11 mars 1938 et la déclaration de guerre entre la France et l'Allemagne, le 3 septembre 1939. Des rencontres entre les chefs d'États aux préparations secrètes des troupes, des communications à la presse à l'ambiance dans les rues de Berlin, des discours sulfureux de Hitler à la résistance alliée, les heures sombres qui précèdent la Seconde Guerre mondiale sont enfin mises en lumière. -
Qui étaient les officiers de la marine au cours de la Seconde guerre mondiale ?
L'Anglais Alastair Mars et son « Unbroken » coula plus de 30 000 tonnes de navires ennemis, prit part à des opérations secrètes, survécut à quelques 400 mines sous-marines, sans compter les innombrables attaques d'avions et de bateaux, attaqua seul douze navires de guerre et détruisit deux croiseurs lourds. L'Allemand Schaeffer nous raconte son U-977 et l'incroyable odyssée qui le mena des côtes de Norvège à l'Argentine en échappant aux flottes alliées. Deux commandants de submersibles, un Anglais et un Allemand, dans des récits simples mais poignants, nous racontent l'histoire souvent dramatique de leurs campagnes sous-marines.
Deux témoignages qui font partie des plus impressionnants de la dernière guerre.
EXTRAIT
Un après-midi de décembre 1941, gris et déprimant, ma femme se blottit contre moi dans le taxi qui nous conduit de la gare au Victoria Park Hôtel. De temps en temps, je la sens frissonner ; le froid n'y est pour rien mais une infinie tristesse se dégage de la ville de Barrow. En ce qui me concerne, je suis trop ému pour être impressionné par la laideur de cette partie du Laneashire industriel. Enfin, après trois ans pendant lesquels je me suis morfondu comme commandant d'un sous-marin d'instruction, je m'apprête à prendre le commandement de l'« Unbroken ». La femme de Tubby Linton, un de nos sous-mariniers les plus célèbres, l'a baptisé il y a quelques mois ; son installation est presque terminée. Dieu seul sait ce que l'avenir me réserve. Quoi qu'il en soit, le futur ne sera pas pire que la période que je viens de traverser : morne répétition d'exercices d'entraînement. Chose bien naturelle, Ting, ma femme, voit les choses sous un autre jour. Sans parler d'autres considérations : une femme qui attend un bébé redoute de voir partir son mari.
À PROPOS DE L'AUTEUR Alastair Mars entre dans les forces de la Royal Navy en 1932, âgé d'à peine 17 ans. Il s'est particulièrement illustré en tant que commandant du sous-marin HMS Unbroken lors de la Bataille de la Méditerranée pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1952, il est renvoyé de la Royal Navy, accusé d'insubordination et de désertion. Il consacre le reste de sa vie à l'écriture, et meurt en 1985.Heinz Schaeffer fut le commandant du sous-marin Unterseeboot 977 de mars à août 1945.
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Connaissez-vous réellement ces hommes qui ont collaboré au cours de la Seconde Guerre mondiale?
Alors que l'histoire de Pétain et du gouvernement de Vichy est connue de tous, celles qui dépassent les frontières françaises restent, elles, obscures dans les esprits. Quels sont ces hommes, oubliés de tous, qui ont fraternisé avec l'ennemi ? - En Angleterre, Édouard VIII, en raison de ses sympathies nazies, fut envoyé aux Bahamas comme gouverneur ; - À Jérusalem, le grand mufti mit sur pied la SS musulmane ; - En Lettonie, Viktor Arajs extermina la moitié des juifs de son pays ; - Au Vatican, le pape Pie XII se tut alors qu'il savait ; - Les banques, en Suisse, ternirent leur réputation - non elles n'étaient pas neutres ; - L'IRA lança une campagne d'attentats en Angleterre, soutenue par l'Allemagne nazie ; - En Wallonie, Léon Degrelle soutint corps et âme Hitler, allant jusqu'à déclarer être le fils que le Fu¨hrer aurait voulu avoir. La liste est bien plus longue : le Hollandais Anton Adriaan Mussert, le Flamand Staf de Clercq ou encore le Norvégien Quisling... Ils sont nombreux, ceux qui ont « tendu la main » au dictateur allemand. D.-C. Luytens dresse le portrait de ces hommes qui, bien souvent, ont été étouffés par les Histoires nationales.
Un ouvrage qui vous permettra de connaître davantage les raisons qui ont encouragé les collaborationnistes à soutenir l'idéologie hitlérienne.
A PROPOS DE L'AUTEUR :
Daniel-Charles Luytens est conférencier et un véritable chercheur de terrain. Les découvertes faites lors de ses investigations servent à alimenter ses nombreuses conférences. Devant le succès de celles-ci, il passe aujourd'hui à l'écriture.
EXTRAIT :
En 1936, le roi d'Angleterre Édouard VIII renonce au trône pour épouser une Américaine deux fois divorcée, Mrs Wallis Simpson. Cependant, c'est seulement depuis quelques années que l'on sait que le roi n'a pas renoncé au trône par amour, mais à cause de ses sympathies pour le régime nazi. Édouard VIII quitte le trône pour épouser celle qu'il aime et laisse la place à son frère qui devient George VI. Ce couple deviendra mythique, comme on en rencontre dans les légendes anciennes. Mais oublions donc ce conte de fées. Il faut savoir que Wallis et Édouard ont eu des liens étroits avec les nazis et les fascistes et que les Services britanniques vont s'efforcer d'en effacer les traces. Wallis Simpson est mariée à un richissime Américain, Ernest Simpson. Wallis est soupçonnée d'espionner pour le compte des nazis, depuis qu'elle est entrée dans la vie d'Édouard. Ses faits et gestes sont surveillés, son passé est bien connu des services de renseignements britanniques. En 1925, lorsqu'elle rejoint en Chine son premier mari, un militaire américain, elle fréquente une maison close où l'on pratique des massages et où l'érotisme n'est pas absent... tout comme l'espionnage, d'ailleurs. Tout ce qu'elle apprendra dans ces maisons particulières, Wallis le mettra à profit pour gravir les échelons de la hiérarchie des courtisanes. Elle sera mise en contact avec des diplomates, dont le comte Ciano, le futur gendre de Mussolini, qui fut son premier flirt avec le fascisme. Un an plus tard, en 1926, elle rentre aux États-Unis pour divorcer. Puis, elle cherche un nouveau mari, de préférence riche. Elle rencontre à Paris Ernest Simpson. Elle l'épouse et le suit en Angleterre. C'est lui qu'elle va quitter pour Édouard. -
Suivez le destin de deux hommes dont les actions sous l'Occupation allemande furent guidées par leurs rivalités.
Ils se connaissent bien, ont travaillé ensemble, s'apprécient, mais la guerre fait diverger leurs trajectoires. Une rivalité politique qui se double d'une rivalité amoureuse. Jusqu'où la folie de cette période sombre de l'Histoire peut-elle mener?? Incroyables retournements de situation, accusation à tort, jusqu'au désastre d'un combat sans vainqueur qui pèsera lourd sur la génération suivante. Dominique Chryssoulis a mené patiemment une enquête à travers différents services d'archives où elle a glané une abondante documentation sur les membres de sa famille impliqués dans ces pages sombres de l'Histoire de France qu'ont été l'Occupation allemande durant la guerre de 1939-1945, l'Épuration et les années d'après-guerre. Elle a retranscrit sans les modifier les textes qu'elle y a trouvés ainsi que les propos des protagonistes dans un souci de rigueur historique. Afin d'offrir à ses lecteurs un récit vivant, aussi fidèle que possible à la réalité, elle a scénarisé les réunions publiques ainsi que les deux procès concernant son grand-père tout en respectant fidèlement leur déroulement et leur contenu. Constatant qu'à cinq ans d'intervalle, les mêmes témoins apportaient un éclairage différent sur les mêmes faits, elle a mis en évidence la subjectivité et la fragilité de tout témoignage.
Plongez-vous dans ce récit historique prenant, empli d'informations et mené comme une enquête, qui suit la destinée d'une famille durant la Seconde Guerre mondiale.
EXTRAIT
Dans les récits de ceux qui ont côtoyé le préfet Tomasi, une constante saute aux yeux : la peur qui ne cesse de l'habiter. Une peur que je peux comprendre, dans sa situation : pression de l'État-Major allemand et de la Gestapo, pression du Gouvernement de Vichy, pression du Préfet régional, pression de la Légion, du Service d'Ordre de la Légion, de la Milice, pression de la population, à une période où la vie personnelle de Tomasi traverse une crise grave.
Autre élément récurrent : les initiatives contre les réfractaires au STO et le maquis ne sont pas de son fait, et il agit en sorte d'en limiter la portée. Figueras, son principal accusateur, l'écrit lui-même : Il m'apparaît aujourd'hui que le rôle d'instigateur que j'attribuais à Tomasi ne lui incombe pas.
Henri Cassin déclare en 1945 : il n'était pas de taille à contrer les mouvements de Résistance solidement établis dans le département.
Le Préfet régional Angeli écrit en 1949 : L'administration de Monsieur Tomasi ne lui a pas laissé une goutte de sang sur les mains.
Autrement dit, le préfet Tomasi n'a pas été un Préfet résistant, à l'inverse de son prédécesseur Alfred Goliard, mort en déportation en 1945. Il a exécuté les ordres de ses supérieurs sans excès de zèle, mais sans s'y opposer. Il a fermé les yeux sur les activités de ses collaborateurs quand ceux-ci étaient notoirement résistants. Il a, en 1943, reçu avec soulagement l'annonce de sa mutation d'office comme Conseiller à la Préfecture de la Seine. À Lons-le-Saunier, sa tâche lui était devenue insupportable. Mais il n'a pas été à la solde de l'occupant. Les accusations d'intelligence avec l'ennemi et de mise en danger de la sûreté de l'État ont été un verdict qui excédait la portée de ses actes. -
Adolf Hitler avait-il une vie sexuelle ?
Combien d'hommes et de femmes a-t-il fréquentés ?
Pourquoi un tel mystère s'est-il créé autour du Führer ?
Était-il hétéro ou homosexuel ?
Avait-il des choses à cacher, susceptibles de heurter la bonne morale ou de nuire à son image publique ?
Était-il impuissant, pervers polymorphe ou pédophile ?
Amoureux des femmes, amateur d'hommes à travers l'Homme supérieur que devait être le SS, qu'était vraiment la vie sexuelle d'Adolf Hitler ?
Ce livre fait le point sur l'une des nombreuses parts d'ombre de la vie du führer nazi !
EXTRAIT
Si l'on en croit les photos et films de l'époque, on ne peut que constater qu'Hitler semblait apprécier la compagnie de jeunes et jolies femmes, et qu'une partie des femmes allemandes faisaient preuve d'un fervent enthousiasme à chacune de ses apparitions. On sait aussi qu'à la toute fin de sa vie il épousa une certaine Eva Braun. Mais cela suffit-il à faire de lui un homme aimant les femmes ? Nous verrons que la réalité n'est pas aussi claire, même pour Eva Braun, quant à l'existence d'un éventuel commerce charnel avec une femme. Nous irons voir ce qu'il fut dit ou écrit sur la plupart des femmes ou jeunes filles qui furent un jour ou l'autre promues au titre de « maîtresses » ou compagnes potentielles de celui qu'on présenta comme le mari de toutes les Allemandes.
En l'absence de preuve formelle d'une activité hétérosexuelle, il était tout naturel que l'idée d'un Hitler homosexuel fasse son chemin. Nous passerons en revue les principaux éléments qui permirent à certains de soutenir qu'Hitler aurait aujourd'hui plutôt trouvé sa place sur un char lors d'une Gay Pride. -
SS français ; récits, lettres et témoignages inédits de la SS Charlemagne
Dominique Lormier
- Jourdan
- 17 Décembre 2018
- 9782390093282
Le récit de Français engagés dans la Waffen SS durant la Seconde guerre mondiale.
Cet ouvrage captivant présente les récits inédits de Waffen SS français ayant lutté contre l'armée soviétique en 1944-1945. Dans la neige, le froid, contre des adversaires implacables nettement plus nombreux et mieux armés, ils ont été engagés dans des opérations souvent suicidaires, de véritables missions de sacrifice ultime.
Chez beaucoup d'engagés français dans la Waffen SS, on retrouve la quête d'un « idéal » fasciste, porté par la camaraderie indestructible du front, la nostalgie fraternelle des tranchées, le culte de la force virile, la fascination pour l'univers militaire allemand, la haine du communisme et du capitalisme, le goût de l'aventure et de l'épopée guerrières, la volonté de restaurer l'héroïsme militaire français dans un cadre européen... Ils rêvent d'un ordre militaire nouveau, hérité de la chevalerie médiévale. Un ordre fondé sur la discipline, l'honneur, la fidélité, le sens du sacrifice, le mépris de la mort. Un ordre quasi religieux, où se retrouvent des catholiques traditionalistes et des païens convaincus. Tous ne sont pas antisémites, mais avant tout anticommunistes.
Cet ouvrage ne se veut en aucun cas une réhabilitation déguisée de ces combattants d'une cause perdue.
L'auteur se contente de relater le plus fidèlement possible leurs témoignages, tout en écartant toute forme d'apologie du nazisme.
Découvrez l'histoire de ces Français qui ont choisi de suivre un idéal. Loin d'être une réhabilitation, l'ouvrage se veut être une analyse d'un mouvement de combattants qui aura marqué au fer rouge l'Histoire du XXe siècle.
EXTRAIT
Chez beaucoup d'engagés français dans la Waffen SS, on retrouve la quête d'un idéal fasciste, porté par la camaraderie indestructible du front, la nostalgie fraternelle des tranchées de 14-18, le culte de la force virile, la fascination pour l'univers militaire allemand, la haine du communisme et du capitalisme, le goût de l'aventure et de l'épopée guerrières, la volonté de restaurer l'héroïsme militaire français dans un cadre européen... Pour de nombreux Waffen SS français, il faut purger la France de ses ennemis, qui sont pour eux les responsables de la défaite de 1940, à savoir les francs-maçons, les communistes et les démocrates.
Ils rêvent d'un ordre militaire nouveau, hérité de la chevalerie médiévale. Un ordre fondé sur la discipline, l'honneur, la fidélité, le sens du sacrifice, le mépris de la mort. Un ordre quasi religieux, où se retrouvent des catholiques traditionalistes et des païens convaincus. Les volontaires disent s'engager « contre le communisme, l'égoïsme bourgeois, l'individualisme, la franc-maçonnerie, la dissidence gaulliste, le capitalisme international ; pour la civilisation chrétienne, le paganisme européen, la hiérarchie, la discipline, la justice sociale, la solidarité, le corporatisme, l'unité et la pureté françaises ». Tous ne sont pas antisémites, mais avant tout anticommunistes.
A PROPOS De L'AUTEUR
Historien et écrivain, membre de l'Institut Jean Moulin, prix de la Légion d'Honneur, Dominique Lormier est l'un des meilleurs spécialistes de la Seconde Guerre mondiale. -
Les derniers jours du nazisme et du fascisme
Jacques de Launay
- Jourdan
- 13 Novembre 2019
- 9782390093794
Retour sur une période sombre de l'histoire d'Europe, déchirée par le fascisme et le nazisme.
De la chute de Mussolini à celle de Hitler, voici un ouvrage qui retrace les derniers jours de pouvoir de deux grands tyrans de la Seconde Guerre mondiale ainsi que les différentes étapes qui ont mené leur mouvement à sa perte.
Les derniers jours, les dernières heures dans le bunker de Berlin sont reconstitués grâce aux témoignages recueillis de première main par l'auteur auprès des survivants. La relation qu'en donne Jacques de Launay constitue un document historique et psychologique du plus haut intérêt.
Il se penche également, de la même manière, sur les ultimes instants de pouvoir de Mussolini et sur la façon dont le Duce a peu à peu sombré.
Jacques de Launay restitue les climats politiques dans lesquels étaient plongées l'Allemagne nazie et l'Italie de Mussolini, réunissant les principaux événements qui ont fait sombrer les deux régimes totalitaires... Un ouvrage complet, qui analyse des témoignages de rescapés et de témoins, et qui met en lumière une période encore obscure.
EXTRAIT
La rencontre Hitler-Mussolini, l'avant-dernière, a été une profonde désillusion pour le Fu¨hrer.
Écoutons Goebbels,
"Le Duce n'a pas tiré de la catastrophe italienne les conclusions attendues du Fu¨hrer. Il était naturellement enchanté de revoir ce dernier et de pouvoir à nouveau jouir de sa liberté. Le Fu¨hrer croyait que le premier soin du Duce consisterait à organiser un procès monstre contre ceux qui l'avaient trahi. Il n'en est rien, ce qui montre les vraies limites de son caractère. Le Duce n'est pas un révolutionnaire à la manière du Fu¨hrer ou de Staline. Il est tellement lié à son italianiste qu'il lui manque les traits de caractère qui font les grands révolutionnaires et les grands entraîneurs d'hommes. En outre, sa fille Edda et, à travers elle, son gendre Ciano exercent une influence néfaste sur lui. Le Fu¨hrer m'apprend qu'Edda Mussolini n'est pas la fille de Rachele, la femme du Duce, mais une enfant illégitime qu'il a adoptée après s'être marié. Cela explique beaucoup de choses. Je m'étais déjà souvent demandé comment il se faisait qu'Edda eût si peu de ressemblance avec ses frères Vittorio et Bruno. Voilà la solution de l'énigme."
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jacques de Launay est un auteur d'ouvrages et de films sur l'histoire contemporaine ainsi que sur la Seconde Guerre Mondiale.
Bien que français, il a vécu longtemps en Belgique. Il est l'auteur de près d'une quarantaine d'ouvrages dont plusieurs sont consacrés à la Belgique. -
Les croyances secrètes de Hitler
José Gregorio Gonzalez, Francis Arnould
- Jourdan
- 7 Mai 2020
- 9782390094128
Saviez-vous que Hitler s'entourait de mages et de membres de puissantes sociétés secrètes qui l'influençaient à l'heure de prendre d'importantes décisions ? Ou qu'il était obsédé par la découverte de tous les objets sacrés répartis dans le monde, convaincu que la possession de ceux-ci lui donnerait le pouvoir absolu ? Ou qu'il lança des expéditions à la recherche du Saint Graal ou du mythique royaume de Shambhala ?
Dans cet ouvrage, nous découvrirons les sociétés secrètes comme l'Ordre Armaniste, la Germanenorden, l'Ordre des Nouveaux Templiers ou la Société Thulé et la guerre occulte qui, à l'ombre de la Seconde Guerre mondiale, opposa les nazis aux alliés. Nous analyserons aussi les délires mystico-raciaux représentés par la Théozoologie ou les contenus antisémites de la revue Ostara, de même que les insoutenables théories de l'Espace Vital, de la Terre Creuse et des Glaces Éternelles, sans oublier les recherches des reliques comme le Saint Graal ou la Lance de Longin.
Les expériences mystiques de Hitler, les observations occultes de Himmler, la fourberie ésotérique du vol de Rudolf Hess, la fraude des Protocoles des Sages de Sion... Les croyances secrètes de Hitler explique tout cela et encore d'autres sujets sans lesquels il est impossible de comprendre le plus grand désastre de l'Histoire. -
L'ouvrage propose trois documents dont les auteurs ne sont autres que des SS en fonction au camp d'extermination d'Auschwitz.
Le premier est une partie des mémoires de Rudolf Hss, commandant du camp, mémoires qu'il rédigea en prison en attendant d'être jugé à Nuremberg et qui constituent le témoignage le plus complet sur le fonctionnement du camp d'Auschwitz et son système d'extermination décrit avec une minutie insoutenable... vu par un haut responsable nazi.
Vient ensuite le « Journal » de Johann Kremer, médecin du camp. Ce texte a été rédigé durant le conflit, au jour le jour. Constitué principalement de notes personnelles, il expose les différentes expériences inhumaines auxquelles étaient soumis les prisonniers.
Le troisième document est un mémorandum de Pery Broad, gardien du camp avant d'être nommé fonctionnaire de la Politische Abteilung, la Gestapo du camp. Après la guerre, sachant qu'il n'échapperait pas à la justice, Pery Broad se constitua prisonnier auprès d'un officier britannique. Espérant gagner les faveurs ou la clémence des vainqueurs, il décrit dans un manuscrit toutes les horreurs commises durant l'exercice de ses fonctions au camp.
Un ouvrage entrainant le lecteur dans un voyage au bout de l'enfer et permettant de comprendre que la « Solution finale » était un processus planifié, organisé et réalisé par chacun de ses acteurs, chacun dans son secteur et chacun à la mesure de ses fonctions et de ses compétences. -
Que s'est-il réellement passé en juin 1940 ?
Voici un livre dérangeant. Dans une démonstration dont l'évidence s'impose à l'esprit, Bernard Legoux nous prouve qu'en juin 1940 l'armistice était la seule solution envisageable. Il n'y avait aucune alternative crédible ! Le 16 juin 1940, après un retrait total de l'armée britannique, l'armée française était submergée par la Wehrmacht. D'immenses destructions, des millions de réfugiés paniqués encombraient les routes. Des troupes en grande infériorité numérique et en retraite rapide interdisaient tout espoir de renverser la situation. Par ailleurs, les insuffisances militaires et industrielles de l'Empire français ne permettaient pas d'envisager une poursuite efficace de la lutte contre l'Allemagne.
Seul un armistice pouvait éviter une capitulation sans conditions de l'armée et permettait de protéger le mieux possible la population et les prisonniers de guerre contre la barbarie nazie. Cet armistice a donné l'occasion à la France de conserver sa flotte, son empire colonial et une grande partie du pays libre de toute occupation. Il lui a offert la possibilité, en novembre 1942, de reprendre la lutte, aux côtés des Alliés, dans les meilleures conditions. Il lui a encore permis d'épargner la vie de plusieurs centaines de milliers de combattants et de civils. Hitler a reconnu lui-même avoir commis une grave erreur en l'accordant.
L'auteur nous montre que l'Histoire « officielle », qui ne cesse de stigmatiser cet armistice, répond incontestablement beaucoup plus à des motifs politiciens qu'au désir de se rapprocher de la vérité historique.
Un livre historique dérangeant qui bouscule les idées reçues sur l'un des épisodes méconnus de la Seconde Guerre Mondiale
A PROPOS DE L'AUTEUR :
Bernard Legoux est spécialiste de l'histoire de France en 1940. Cet écrivain s'illustre également comme membre de la Commission française de l'histoire militaire.
EXTRAIT :
Est-il encore utile, peut-on se demander, de parler à nouveau de la période si troublée de 1939/1940 ? Je crois que de nombreux Français s'intéressent à une époque où la plupart d'entre eux n'étaient pas encore nés, qui a tellement divisé leurs parents, et qui est toujours évoquée d'abondance dans les librairies ou à la télévision. Pendant plus de soixante ans certains lobbies ont beaucoup contribué à déformer la perception de cette période dramatique des mois de mai à juillet 1940 et il s'est constitué une « Histoire quasi officielle » dont les rapports avec la réalité sont souvent assez lointains. En effet elle se caractérise par une diabolisation complète de l'armistice et du gouvernement qui fut obligé de le demander et au contraire par des éloges dithyrambiques de tous ceux qui s'y sont opposés. Pour cela :
La défaite de juin 1940 est minimisée ainsi que ses conséquences. Le maréchal Pétain et le général Weygand sont désignés comme les principaux responsables de cette défaite. On laisse même entendre souvent qu'ils l'ont provoquée intentionnellement pour prendre le pouvoir.
La conclusion de l'armistice est considérée comme une trahison, notamment vis-à-vis des alliés britanniques auxquels est censé nous lier un traité conclus le 28 mars 1940, et cet armistice est considéré comme « abominable ». Le gouvernement aurait dû partir en Afrique du Nord vers laquelle auraient pu être acheminés 500 000 hommes avec leurs matériels en juin 1940. L'armistice n'est donc qu'une « capitulation » qui a comme principal résultat de mettre toute la France à la disposition des Allemands (Discours du général de Gaulle). -
Des anecdotes inédites et insolites de la Seconde Guerre mondiale.
Nous retrouvons à nouveau ici des aspects étonnant d'un conflit, qui à chaque fois, sous sa plume prend un aspect nouveau :
o La mort du maréchal Toukhatchevski et les purges dans l'armée Rouge
o L'Orchestre noir, le réseau allemand qui espionnait Hitler
o Le duel dans le désert espionnage et opération spéciale au Moyen-Orient
o Les commandos : La naissance des forces spéciales
o Les Sacrifiés de Dieppe : 2000 hommes meurent pour rien !
o Cryptonyme Cycero, une des plus mystérieuses affaires d'espionnage de la Seconde Guerre
o Le secret d'Overlord, les opérations secrètes derrière le débarquement du 6 juin 44
o L'enfer et le ciel, les superforteresses entrent en jeux
o L'affaire Joukov, le plus grand général soviétique entre Hitler et Staline.
Les faces cachées ou mal connues de la Seconde Guerre mondiale.
EXTRAIT
Le jour pointait. Le commandant du front Ouest, Mikhail Toukhatchevski, sortit de la chambre de la maisonnette en bois ou était installé depuis deux jours son poste de commandement. Il n'avait pas dormi de la nuit. Évidemment, la journée qui commençait ne pouvait pas être décisive. La bataille serait sans doute longue, mais la fatigue et l'excitation ressentie à l'approche de l'offensive avaient chasse le sommeil. Il traversa un vestibule étroit ou un soldat était pelotonné sur une commode. Il le poussa du coude :
- Ne dors pas, ou ils t'égorgeront comme un goret.
L'homme sauta en bas de la commode et se mit aussitôt à fourrer sa vareuse sous la ceinture de son pantalon, cherchant à tâtons fébrilement de sa main libre son fusil tombe par terre.
- Oui, camarade commandant en chef. Fatigue.... j'ai seulement appuyé ma tète un moment contre le mur... murmura-t-il.
- Fais chauffer le samovar. Il est tout froid.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Boguslaw Woloszansky se consacre à l'écriture et à la réalisation d'émissions de télévision à succès comme L'encyclopédie de la Seconde Guerre mondiale. Il a également reçu le prix de journalisme « Boleslaw Prus ». Ses ouvrages et ses reconstitutions nous livrent le résultat de 15 années de recherches et d'investigations. Ouvrages précédents essentiels : 40-45, La guerre secrète d'Hitler; 39-45, Le choc des Tyrans; Les Risque-tout. Ils paraissent pour la première fois en français et sont des best-sellers dans de nombreux pays. -
Les histoires insolites de la Seconde Guerre mondiale !
Daniel-Charles Luytens, fin limier de l'Histoire, est sans cesse à la recherche d'archives inédites, oubliées ou méconnues. Il nous livre ici sa dernière moisson de dossiers consacrés à l'une des périodes les plus tragiques du XXe siècle, 39-45, période durant laquelle Hitler et ses acolytes sévirent sur l'Allemagne et les territoires occupés. Grâce à des documents tels que des lettres, des interviews, des bandes d'enregistrement, des journaux personnels, le lecteur découvrira entre autres :
o Le dernier ordre du jour rédigé par Hitler,
o La lettre d'adieu de Magda Goebbels à son fils,
o L'unique lettre d'amour du Fuhrer,
o Les confessions de personnages tels que Adolf Hitler ou Baldur Von Schirach,
o La présence supposée d'Hitler à Liverpool, - Le faux journal d'Eva Braun,
o Les contacts soviétiques de Martin Bormann,
o Les raisons qui auraient pu permettre d'éviter la défaite d'Arnhem,
o Le possible assassinat par Hitler de sa nièce Geli.
Un ouvrage richement documenté pour découvrir des anecdotes inédites de la Seconde Guerre mondiale.
EXTRAIT
Bruxelles, dimanche 10 septembre 1944. Le maréchal Montgomery - il a été promu à ce titre le 31 août - reçoit, à sa demande, la visite de son supérieur hiérarchique interallié, le général Eisenhower. La rencontre a lieu sur l'aérodrome d'Evere. Eisenhower ne descend pas de son avion parce qu'il s'est foulé le genou en allant voir Bradley à Chartres. C'est à bord de l'appareil que se déroule la conférence qui va durer tout l'après-midi. Montgomery est uniquement assisté de son adjoint administratif, le général Graham, son chef d'État-major, le général Guingand étant grippé. Eisenhower est entouré du maréchal de l'air Tedder et de son adjoint administratif le général sir Humphrey Gale, un homme prudent et méticuleux.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Daniel-Charles Luytens est historien, conférencier et véritable «homme de terrain». Les découvertes engendrées par ses investigations servent à alimenter ses nombreuses conférences. Il est l'auteur de Les fils cachés de Hitler, 39-45 Témoignages troublants et mystérieux, SS Wallons : témoignages. Les + étonnantes histoires du IIIe Reich est son dernier livre paru.
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Découvrez le quotidien de ceux qui furent enrôlés dans les jeunesses hitlériennes.
De nombreuses études ont été réalisées mais peu de livres de témoignages ont été publiés concernant la Jeunesse hitlérienne, l'organisation paramilitaire du Parti nazi qui, de 1926 à 1945, veilla à la formation des futurs « surhommes aryens ». Y primait la préparation physique, idéologique et morale d'une jeunesse qui devra être capable de se jeter corps et âme dans la guerre, en se sacrifiant pour Hitler et l'Allemagne nazie. La première année de l'arrivée au pouvoir d'Hitler, le nombre des Jeunesses hitlériennes passe de un à trois millions et demi de membres. En 1939, l'adhésion devient obligatoire pour les enfants à partir de dix-sept ans et en 1941 à partir de dix ans.
Les meilleurs d'entre eux sont destinés à intégrer directement la SS. Ce livre, à travers les récits et les interviews de ceux qui ont été embrigadés dans cette mini-armée nazie, nous explique comment la jeunesse allemande était préparée à intégrer les rangs de l'armée. On y découvre, grâce à de riches témoignages, la vie des Jeunesses hitlériennes, leur entraînement physique et militaire qui comprenait le maniement des armes, le développement de la force physique, la stratégie militaire et un endoctrinement antisémite. Une certaine cruauté des plus grands envers les plus jeunes était même tolérée et encouragée, le but étant d'éliminer les plus faibles et d'endurcir les autres.
Nous y découvrons aussi comment ces jeunes se sont battus une fois obligés de pallier au manque de soldats adultes. Nous n'avons pas voulu faire ici une histoire de la Jeunesse hitlérienne mais plutôt nous intéresser à des témoignages bruts qui nous permettent, au-delà de l'Histoire officielle, de comprendre comment et pourquoi ces jeunes, tant leur foi en le Fu¨hrer était sans borne, sont devenus des machines tout entières dévouées à la cause nazie. D.-C. Luytens et Jacques de Launay ont passé des années à collecter ces témoignages inédits.
Des témoignages pour mieux comprendre les motivations qui ont poussé ces jeunes allemands à représenter l'idéologie nazie.
A PROPOS DE L'AUTEUR :
Daniel-Charles Luytens est historien, conférencier et véritable «homme de terrain». Les découvertes engendrées par ses investigations servent à alimenter ses nombreuses conférences.
EXTRAIT :
Dès mars 1922, Hitler avait envisagé la création d'un groupement de jeunes du N.S.D.A.P. (Parti national-socialiste des travailleurs allemands). Une première formation rattachée à la S.A. (Bataillon d'Assaut) fut mise sur pied en mai suivant à Munich par le groupe local du Parti sous l'appellation de Compagnie de Jeunes Adolf Hitler (Jungsturm). Elle fut interdite un an plus tard tout comme la N.S.D.A.P. et la S.A. La Jungsturm ne fut pas reconstituée lors de la réorganisation du mouvement, début 1925. La Jeunesse hitlérienne fut officiellement créée le 4 juillet 1926.
Ce n'est que le 15 juin 1932, qu'elle fut reconnue organisation autonome du N.S.D.A.P. Elle était, au début, proche du scoutisme. En été, les jeunes passaient leurs vacances dans des camps appelés Camps du solstice. Par la suite, les Jeunesses hitlériennes se transformeront en un organisme de préparation militaire et politique supervisée par la S.S. (Schutzstaffel - Armée de l'escadron de protection). En 1939, un corps de santé fut mis sur pied pour les Jeunesses hitlériennes : 4 000 médecins, 800 dentistes et 500 pharmaciens. Afin de prendre la jeunesse en main dès l'enfance, pour l'endoctriner, la participation de la Jeunesse hitlérienne, libre à ses débuts, fut rendue obligatoire par une loi du 1er décembre 1936.